Cette question trouve sa réponse au travers des politiques de développement durable. Peu à peu, l’opinion prend conscience de la responsabilité sociale de l’entreprise (RSE). Et celle-ci constitue le socle des négociations avec les organisations professionnelles. Mais, pour en comprendre les enjeux, il est nécessaire d’en passer par un diagnostic RSE véritable révélateur des comportements et des modes de fonctionnement véhiculés au sein des entreprises. La norme ISO 26000 permet de mieux structurer cette démarche en donnant des pistes quant à la mise en œuvre d’actions responsables.
Le dispositif RSE ne peut pas exister sans une solide formation à la norme ISO 26000 au diagnostic RSE. Sequovia a donc lancé un programme de formation à destination des entreprises et des organismes publics pour leur permettre de mieux appréhender la notion de développement responsable. Cela va intéresser, en premier lieu, les cadres et les dirigeants mais également l’ensemble du personnel souhaitant situer les enjeux de la révolution qui est en marche.
C’est, en effet, un véritable paradoxe. La recherche du profit à court terme peut conduire des entreprises à condamner une part de leur avenir. Entre une rentabilité immédiate, prônée par certains actionnaires, et une politique permettant d’assurer des positions sur du long terme, le gap est important. Financiers et Managers s’affrontent sur des terrains ou les enjeux divergent ! Le développement durable répond en partie à cette problématique en imposant à la direction des entreprises des réflexions sur l’environnement, la prise en compte de la diversité, la stratégie de développement à long terme … des données qui ne peuvent être réellement appréhendées qu’au travers de la RSE.
